PRIX DECOUVERTE Installation Pictures and Press

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Atelier de Mecanique


"Perhaps the most surprising work, though, belonged to Nadège Mériau, a Tunisian-born photographer living in London. Her visionary landscapes resemble the apocalyptic paintings of John Martin or those disturbingly viscous medical images taken by tiny cameras inserted into the body. They are actually extreme close-ups of the inside of bread, taken on a large-format camera: a kind of worm's-eye view of buns, rolls and loaves. Mériau also photographs the inside of vegetables and milk with the same surreal sci-fi results. Her "intra-uterine architectures", as she calls them, are utterly singular and a little bit bonkers, but they captivate all the same" Sean O'Hagan, The Observer, 8-7-12
http://www.guardian.co.uk/artanddesign/2…

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Prix Decouverte exhibition


"I very much like Nadège Mériau’s beautifully made close-ups of plain foods lit so that they are only just readable as food. She can make the doughy inside of a loaf of bread into a night sky or an underground cavern or a flow of lava. This is a big contrast to the work of those examining land for traces of what went before. Mériau does the other thing photography has always been able to do, to look at something which meant nothing at all, and invite us to give it meaning."Francis Hodgson, The Financial Times, 13-7-12
http://francishodgson.com/2012/07/13/eva…

"J'ai longtemps hésité devant le travail de la Carthaginoise londonienne Nadège Mériau, photographe de nourriture. Il ne s'agit pas de la pathologie des dîneurs photographes compulsifs, ni de ce festival, ou, pire, des images bien léchées et mièvres de 'photographes plasticiens' mondains photographiant joliment la 'sublime, forcément sublime' cuisine d'un grand chef. Non, Nadège Mériau photographie vraiment la bouffe, de tout près, ses filaments, ses gruaux, ses adhérences, sa pesanteur, sa matérialité : c'est intime, viscéral, muqueux, intra-utérin comme elle dit, ça ne met guère en appétit, certes, mais c'est superbe, mystérieux, dans une double pulsion de dégoût et de fascination, de contemplation et de curiosité (est-ce un potiron, là ? devrais-je en parler à mon psy ?). À suivre." Marc Lenot,Lunettes Rouges, Le Monde, 30-7-12
http://lunettesrouges.blog.lemonde.fr/20…

"Mériau’s interest in our conscious and subconscious notions of dwellings, home and Eden seeks answers in unexpected places. The surreal, visceral landscapes are actually large format photographs of various foods, the lens exploring nether regions we do not think of as possible terrains. The meta typographies of these minute worlds somehow makes us more conscious of our own smallness in the universe. The alien visions are both repulsive and inviting, making the invisible something infinite."Posi+tive Magazine, 12-7-12
http://www.positive-magazine.com/photogr…

"Un dernier arrêt aux créations de Nadège Mériau, Française vivant à Londres, qui fait de l'intérieur d'un pain, d'une courge ou d'une pastèque des paysages oniriques, organiques voire galactiques, véritable vision de l'infini pris au coeur de l'insignifiance." Karveelt, Karveelt in Wonderland, 9.8.12
http://karveelt-in-wonderland.over-blog.…

"Nadège Mériau : voyage dans les entrailles de la matière
Française, vivant et travaillant à Londres, diplômée du Royal College of Art, Nadège Mériau nous fait partager un univers étrange naviguant entre viscéral et sublime. A travers ses photos, l’artiste nous plonge dans les entrailles d’aliments tels que le pain, la pastèque, la courge… L’effet est surprenant, les légumes se transforment en des lieux souterrains, des paysages imaginaires emprunts d’étrangeté. L’éclairage et la photographie grand format subliment les aliments, pour les rendre méconnaissables. L’intérieur d’une pastèque se transforme alors en une grotte sanguinolente, la courge devient une cavité ocre à ciel ouvert dont les filaments deviennent des lianes…" Margaux Buyck, The Artship, 24.8.12
http://theartship.it/home/dlyaivxy/publi…